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Gestion des talents

Licenciement : comment calculer les indemnités ?

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12 minutes de lecture
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Le licenciement est une étape difficile tant pour l’employeur que pour le salarié. Comprendre les indemnités de licenciement vous permettra d’éviter toute erreur et de garantir un départ en toute sérénité.

Quels sont les différents types d’indemnités de licenciement et les méthodes de calcul possibles ? Quels sont les outils à votre disposition pour simplifier cette démarche ? On vous dit pour que vous abordiez le calcul des indemnités de licenciement en toute confiance.

Avec les récentes décisions de la Cour de cassation en 2025 – notamment l’intégration des arrêts maladie dans l’ancienneté – le calcul nécessite une vigilance accrue pour garantir le respect du droit du travail. On vous dit tout.

Qu’est-ce que l’indemnité de licenciement ?

Définition de l’indemnité de licenciement

L’indemnité de licenciement est une somme versée au salarié en CDI dont le contrat de travail est rompu par l’employeur pour un motif autre qu’une faute grave ou lourde. Cette compensation financière vise à atténuer les conséquences économiques de la perte d’emploi. Encadrée par le Code du Travail, elle s’applique aux deux catégories de licenciements, c’est-à-dire qu’ils soient pour motif personnel ou économique. L’indemnité légale de licenciement est calculée en fonction de l’ancienneté du salarié et du salaire de référence.

Il s’agit d’une indemnité minimale garantie par la loi, distincte d’autres sommes qui peuvent être dues au moment de la rupture : l’indemnité compensatrice de congés payés non pris, l’indemnité compensatrice de préavis si le salarié est dispensé d’effectuer son préavis, ou encore les indemnités pour licenciement abusif si la procédure de licenciement est jugée irrégulière par le conseil de prud’hommes.

Conditions d’éligibilité

Pour bénéficier de l’indemnité de licenciement, plusieurs conditions doivent être remplies :

  • Type de contrat : Le salarié doit être en Contrat à Durée Indéterminée (CDI).
  • Ancienneté : Une ancienneté minimale de 8 mois ininterrompus au sein de l’entreprise est requise. La période entre la date d’embauche et la date de fin du préavis est prise en compte pour le calcul de l’ancienneté. Attention : une jurisprudence récente de la Cour de cassation du 1er octobre 2025 intègre désormais les périodes d’arrêt de travail pour maladie dans le calcul de l’ancienneté. Cette décision élargit les droits des salariés ayant connu des interruptions de service liées à des problèmes de santé.
  • Motif du licenciement : L’indemnité n’est pas due en cas de licenciement pour faute grave ou lourde, sauf en cas de dispositions spécifiques de la convention collective ou du contrat de travail.

Ces conditions sont définies par l’article L1234-9 du Code du Travail, garantissant ainsi une protection minimale pour les salariés licenciés.

Différence entre indemnité légale, conventionnelle et contractuelle

Il existe trois types d’indemnités de licenciement : légale, conventionnelle et contractuelle. Chacune a ses spécificités et son mode de calcul. L’employeur doit toujours retenir la formule la plus avantageuse pour le salarié parmi ces trois options.

  • Indemnité légale : Fixée par la loi, elle représente le minimum que l’employeur doit verser. Selon l’article R1234-2 du Code du Travail, elle se calcule à raison de 1/4 de mois de salaire par année d’ancienneté pour les 10 premières années, et 1/3 de mois de salaire par année au-delà de 10 ans.
  • Indemnité conventionnelle : Prévue par la convention collective applicable à l’entreprise, elle peut être plus avantageuse que l’indemnité légale. Chaque convention collective définit ses propres modalités et montants, souvent plus favorables aux salariés.
  • Indemnité contractuelle : Stipulée dans le contrat de travail ou par accord d’entreprise, elle peut également offrir des conditions plus avantageuses que l’indemnité légale. Elle doit toutefois respecter les minima légaux et conventionnels. Le montant final dépend donc de plusieurs facteurs : l’ancienneté calculée jusqu’à la fin du préavis, la rémunération brute de référence, et le type d’indemnité applicable. Dans tous les cas, c’est le montant le plus favorable qui doit être versé au salarié licencié.

Comment calculer l’indemnité de licenciement ?

Calcul de l’indemnité légale de licenciement

Le calcul de l’indemnité légale de licenciement est strictement encadré par le Code du Travail. Selon l’article R1234-2 du Code du Travail, cette indemnité ne peut être inférieure à :

  • 1/4 de mois de salaire par année d’ancienneté pour les années jusqu’à 10 ans.
  • 1/3 de mois de salaire par année d’ancienneté pour les années au-delà de 10 ans.

Le salaire brut de référence est calculé de deux manières différentes, et c’est l’option la plus favorable pour le salarié qui est retenue. Le salaire de référence est un élément essentiel pour déterminer les indemnités légales et conventionnelles. On peut le calculer comme suit :

  • Soit en retenant la moyenne des 12 derniers mois : La somme des salaires bruts des 12 derniers mois divisée par 12.
  • Soit en retenant le tiers des 3 derniers mois : La somme des salaires bruts des 3 derniers mois divisée par 3.

Depuis l’arrêt de la Cour de cassation du 2 avril 2025, la base de calcul doit impérativement intégrer non seulement le salaire de base, mais aussi toutes les primes, les heures supplémentaires effectuées, les rappels de salaires et les avantages en nature. Cette précision jurisprudentielle garantit une meilleure protection du salarié en prenant en compte l’intégralité de sa rémunération perçue.

Pour les salariés à temps partiel, le calcul s’effectue proportionnellement au temps de travail. Le montant de l’indemnité est déterminé comme pour un temps complet, puis ramené au prorata du temps effectivement travaillé.

Le salaire de référence constitue l’élément essentiel pour estimer avec précision les indemnités légales ou conventionnelles dues au moment de la rupture.

➡️Découvrez comment calculer l’indemnité de licenciement économique.

Calcul de l’indemnité conventionnelle de licenciement

L’indemnité conventionnelle de licenciement est définie par la convention collective applicable à l’entreprise. Elle peut offrir des conditions plus avantageuses que celles prévues par la loi. Chaque convention collective a ses propres règles de calcul, souvent plus favorables que l’indemnité légale.

Par exemple, une convention collective pourrait prévoir que l’indemnité de licenciement pour un cadre est équivalente à 1/3 de mois de salaire par année d’ancienneté dès la première année.

D’autres conventions prévoient des calculs différents selon la catégorie professionnelle, l’âge du salarié au moment du licenciement, ou la nature du motif (licenciement pour motif économique versus licenciement pour motif personnel).

Il est donc nécessaire de vérifier systématiquement les dispositions de votre convention collective, car elle prime sur l’indemnité légale dès lors qu’elle est plus favorable. En cas de doute sur l’application de telle ou telle clause, n’hésitez pas à consulter un expert en droit du travail ou votre service RH.

Le calcul de l’indemnité de licenciement en pratique

Prenons l’exemple d’un salarié ayant 12 ans d’ancienneté et un salaire mensuel brut de 3000 €.

  • Calcul de l’indemnité légale :
    • Pour les 10 premières années : (3000*¼) *10 = 7500€
    • Pour les 2 années suivantes : (3000*⅓)* 2 = 2000 €
    • Total de l’indemnité légale : 7500+2000 = 9500€
  • Calcul de l’indemnité conventionnelle (selon une convention prévoyant 1/3 de mois par année) :
    • (3000*⅓) *12 = 12000€

Dans ce cas, l’indemnité conventionnelle est plus favorable que l’indemnité légale.

C’est donc le montant de 12 000 € qui devra être versé au salarié.

Exemple 2 : Prise en compte des primes et heures supplémentaires

Imaginons un salarié ayant 8 ans d’ancienneté avec :- Salaire de base mensuel : 2 800 €- Prime annuelle : 3 600 €- Heures supplémentaires moyennes : 150 € par mois

Calcul du salaire de référence (formule des 12 derniers mois) :[(2 800 + 150) × 12 + 3 600] / 12 = 3 250 €

Calcul de l’indemnité légale :3 250 × 1/4 × 8 = 6 500 €

Cet exemple illustre l’importance d’intégrer tous les éléments de rémunération dans le calcul, conformément à la jurisprudence récente de la chambre sociale de la Cour de cassation.

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Cas particuliers et jurisprudences récentes à connaître

Au-delà du calcul standard de l’indemnité de licenciement, plusieurs situations particulières nécessitent une attention spécifique, d’autant que la jurisprudence évolue régulièrement.

Licenciement sans cause réelle et sérieuse : le barème Macron en 2025

Lorsqu’un licenciement est jugé abusif – c’est-à-dire sans cause réelle et sérieuse – par le conseil de prud’hommes, le salarié peut prétendre à des indemnités supplémentaires. Le barème Macron, introduit par l’ordonnance du 22 septembre 2017, encadre ces montants depuis plusieurs années.

En 2025, ce barème reste d’actualité et fixe une fourchette d’indemnisation comprise entre 1 et 20 mois de salaire, en fonction de l’ancienneté du salarié et de la taille de l’entreprise. Pour les salariés justifiant de plus de 2 ans d’ancienneté dans des entreprises de plus de 11 salariés, un plancher minimal de 3 mois de salaire s’applique.

Un arrêt important de la Cour de cassation du 29 avril 2025 (Cass. soc. 29 avril 2025 n° 23-23.494) précise qu’à partir de la 11ème année complète d’ancienneté, le montant minimal fixé au barème annexé à l’article L.1235-3 du Code du travail s’applique, quel que soit l’effectif de l’entreprise. Cette décision lève certaines ambiguïtés d’interprétation et renforce la sécurité juridique des entreprises comme des salariés.

Licenciement nul : une protection renforcée

Certains licenciements sont considérés comme nuls lorsqu’ils violent des droits fondamentaux : discrimination (origine, sexe, orientation sexuelle, état de santé…), harcèlement moral ou sexuel, exercice du droit de grève, état de grossesse, etc.

Dans ces situations, l’indemnité ne peut être inférieure à 6 mois de salaire, quel que soit l’ancienneté du salarié (article L.1235-3-1 du Code du travail). La Cour de cassation a précisé dans un arrêt du 2 avril 2025 que cette indemnité minimale doit être calculée sur la base des 6 derniers mois de rémunération, en incluant l’ensemble des éléments : salaire de base, primes, heures supplémentaires, avantages en nature. Cette jurisprudence garantit une meilleure indemnisation des victimes de licenciements discriminatoires ou irréguliers.

Licenciement pour inaptitude d’origine professionnelle

Le licenciement pour inaptitude mérite une attention particulière lorsque celle-ci résulte d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle. Dans ce contexte, l’article L1226-14 du Code du travail prévoit que le salarié a droit à une indemnité spéciale égale au double de l’indemnité légale de licenciement.

Cette protection renforcée vise à compenser les conséquences graves d’un problème de santé lié au travail. En pratique, l’employeur doit donc calculer l’indemnité légale selon le barème habituel, puis multiplier ce résultat par deux. Cette indemnité s’ajoute aux autres sommes dues : indemnité compensatrice de préavis et indemnité compensatrice de congés payés.

Intégration des arrêts maladie dans l’ancienneté : une évolution majeure

La décision de la Cour de cassation du 1er octobre 2025 constitue une avancée significative pour les droits des salariés. Désormais, les périodes d’arrêt de travail pour maladie doivent être intégrées dans le calcul de l’ancienneté servant à déterminer l’indemnité due en cas de licenciement.

Concrètement, un salarié ayant travaillé 9 ans en temps complet et ayant été en arrêt maladie 6 mois durant cette période se verra reconnaître 9 ans et 6 mois d’ancienneté pour le calcul de son indemnité. Cette jurisprudence modifie sensiblement la pratique et nécessite une vigilance accrue de la part des services RH lors de la détermination de l’ancienneté.

Les bonnes pratiques à adopter en tant qu’entreprise

Connaître sa convention collective

Une des premières étapes pour bien gérer un licenciement est de connaître en détail la convention collective applicable à votre entreprise. Les conventions collectives peuvent offrir des conditions plus favorables que celles prévues par la loi en matière d’indemnités de licenciement. Assurez-vous de consulter régulièrement la convention collective et de vous tenir informé des mises à jour pour garantir la conformité de vos pratiques.

Négocier une indemnité plus élevée

Bien que le Code du Travail fixe un minimum légal pour les indemnités de licenciement, il est souvent possible de négocier des montants plus élevés. Cela peut être particulièrement pertinent dans le cadre d’une rupture conventionnelle. En proposant une indemnité supérieure, vous pouvez faciliter les négociations et obtenir un accord amiable plus rapidement, tout en maintenant de bonnes relations avec le salarié.

Cette approche présente plusieurs avantages : elle évite un contentieux potentiellement long et coûteux devant le conseil de prud’hommes, elle préserve l’image de marque employeur, et elle permet un départ dans de meilleures conditions. Le versement d’une indemnité supra-légale peut également s’inscrire dans une démarche de responsabilité sociale de l’entreprise.

Utiliser des simulateurs de calcul en ligne

Pour éviter les erreurs de calcul et garantir la transparence, il est recommandé d’utiliser des simulateurs de calcul d’indemnités en ligne. Des outils comme celui proposé par le Code du travail numérique permettent de calculer rapidement et précisément l’indemnité de licenciement en fonction des données saisies. Ces simulateurs sont régulièrement mis à jour pour refléter les dernières évolutions législatives.

Ces outils constituent une première estimation utile, mais ils ne remplacent pas l’analyse fine de situations particulières (primes irrégulières, périodes de congé parental, temps partiel variable…). En cas de doute, il est préférable de solliciter un conseil juridique spécialisé en droit du travail

Documenter et archiver les démarches

Chaque étape du processus de licenciement doit être soigneusement documentée. Conservez tous les documents liés au licenciement, y compris les lettres de notification, les justificatifs de calcul de l’indemnité et les éventuels accords signés. Une documentation rigoureuse permet de se prémunir contre d’éventuelles réclamations et de prouver la conformité des procédures suivies.

Il est également essentiel de conserver tous les bulletins de salaire de la période précédant le licenciement, ainsi que les documents attestant de l’ancienneté du salarié (contrat de travail, avenants, attestations d’arrêts maladie…). En cas de contestation devant le conseil de prud’hommes, ces pièces constitueront les preuves nécessaires pour défendre votre position.

Former et informer le personnel RH

Il est essentiel de former régulièrement le personnel des ressources humaines aux dernières réglementations et bonnes pratiques en matière de licenciement. Des sessions de formation continue peuvent aider à garantir que votre équipe RH est toujours à jour et capable de gérer les licenciements de manière professionnelle et conforme à la loi.

Informer également les salariés de leurs droits et des procédures en cas de licenciement contribue à une plus grande transparence et à un climat social apaisé.

Avec l’évolution constante de la jurisprudence – comme les récentes décisions de 2025 sur l’intégration des arrêts maladie ou le calcul incluant les primes – la formation continue devient indispensable. Elle permet d’éviter des erreurs coûteuses et de sécuriser juridiquement les procédures de rupture du contrat.

Respecter les délais légaux

Enfin, respectez scrupuleusement les délais légaux pour chaque étape du licenciement. Les délais de préavis, de notification et de versement des indemnités doivent être scrupuleusement respectés pour éviter tout contentieux. Le non-respect de ces délais peut entraîner des sanctions pour l’entreprise et des indemnités supplémentaires à verser au salarié.

Le paiement de l’indemnité de licenciement doit intervenir au moment du solde de tout compte, c’est-à-dire à la date de fin du contrat ou du préavis. Tout retard peut être considéré comme une irrégularité dans la procédure et exposer l’employeur à des sanctions.

Traitement fiscal et social de l’indemnité de licenciement

L’indemnité de licenciement bénéficie d’un régime fiscal et social particulier, avec des exonérations partielles sous certaines conditions. Il est important de comprendre ces règles pour anticiper le montant net que percevra effectivement le salarié.

Exonération d’impôt sur le revenu

L’indemnité légale ou conventionnelle de licenciement est exonérée d’impôt sur le revenu dans certaines limites. La partie exonérée correspond au montant le plus élevé entre :- Le montant de l’indemnité légale ou conventionnelle- Deux fois la rémunération annuelle brute perçue l’année précédant la rupture- La moitié de l’indemnité versée dans la limite de 6 fois le plafond annuel de la Sécurité sociale

Attention : en cas de licenciement abusif jugé par le conseil de prud’hommes, les dommages et intérêts accordés sont intégralement soumis à l’impôt sur le revenu. Seule l’indemnité de licenciement stricto sensu bénéficie du régime d’exonération.

Exonération de cotisations sociales

L’indemnité légale ou conventionnelle de licenciement est également exonérée de cotisations de Sécurité sociale, dans la limite de deux fois le plafond annuel de la Sécurité sociale (ou du montant de l’indemnité légale ou conventionnelle si celui-ci est supérieur).

En revanche, la fraction excédentaire est assujettie aux cotisations sociales, ainsi qu’à la CSG (Contribution Sociale Généralisée) et à la CRDS (Contribution au Remboursement de la Dette Sociale). Cette partie imposable doit figurer sur le bulletin de salaire final ou le solde de tout compte.

Ces règles d’exonération ne s’appliquent pas aux indemnités versées dans le cadre d’une rupture conventionnelle, qui suivent un régime distinct. Pour toute question spécifique sur le traitement fiscal et social d’une indemnité, il est conseillé de consulter un expert-comptable ou un conseiller en gestion de paie.

En conclusion

Le calcul de l’indemnité de licenciement ne doit pas être pris à la légère. En effet, il implique une bonne connaissance de la législation qui, le cas échéant, peut être très préjudiciable pour l’entreprise. Outre les pénalités financières, c’est aussi l’image de marque de l’entreprise qui peut s’en trouver affectée. En effet, la relation contractuelle peut se terminer, mais cela peut se faire en toute sérénité.

Les évolutions jurisprudentielles de 2025 – notamment sur l’intégration des arrêts maladie dans l’ancienneté et l’inclusion des primes dans le salaire de référence – rendent plus que jamais nécessaire une vigilance accrue dans le calcul des indemnités. Au-delà du simple calcul financier, le départ d’un collaborateur nécessite une gestion globale : récupération du matériel, clôture des accès, transmission des dossiers, solde de tout compte… Un processus d’offboarding structuré garantit une transition professionnelle et limite les risques juridiques.

Pour sécuriser vos pratiques et éviter tout risque de contentieux, n’hésitez pas à vous appuyer sur des outils RH performants qui automatisent ces calculs complexes et facilitent l’ensemble de la procédure de départ.

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Anaïs est responsable du contenu chez Factorial. Avec sa curiosité insatiable et son amour pour l'apprentissage continu, elle est constamment à l'affût des dernières tendances et des meilleures pratiques en matière de ressources humaines. Son objectif est de fournir des informations précieuses, des conseils pratiques et des ressources utiles aux professionnels des RH, afin de les aider à optimiser leur gestion des talents, à promouvoir la qualité de vie au travail et à créer des environnements de travail positifs.